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Un monde à part
19/01/2006 21:47
Un art tel lié où s'entasse mes débauches de maux De doutes failles, béantes, petites, fragiles des tendres dont l'eau peut jaillir, six faces d'il Des sombres, guetteur de dragons et de faux.
Un monde à part dans lequel je me perds souvent
Une cruelle ruelle bordées de roses, d'aubépines, d'art Jamais taillées, non, si ce n'est pour l'aventure Des arcs en ciel, des flèches décochées d'un coeur qui part Jungle d'élocutions, bavardages suintant de mes blessures.
Un monde à part où je me perds souvent.
Une ombre contre jour qui m'annime Un bienveilleur de mes nuits qui me panse encore L'hivers, la peur et les bras d'un Il qui me sublîme Mes yeux embuées des vapeurs de tout cet amor
Un monde à part où je me perds souvent.
La trace laissée par les emprunteurs d'émois Au matin porteuse encore de mon histoire Je voyage au travers de l'effet mère de ma voix Mon corps en dolor et ma vie sans gloire
Un monde à part dans lequel je me perds souvent...
Commentaire de greg (19/01/2006 22:11) :
oui le frissons des émotions nous parcourt tous le long de ton blog a
bientot
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BIOLOGIE D'UNE PASSION
19/01/2006 21:33
Là où nous entraînent nos modèles chimériques il est si bon de s’adonner à fantaisie. Rallier la science, les sentiments reste hérésie pourtant tenter une expérience est prolifique.
Cycle de vie, cycle d’amour ont-ils rapport? Là ou les uns fondent postulats sur de l’abscons d’autres imposent leurs certitudes à leurs consorts dans cet écrit, comprenez y juste évasions.
D’abord genèse vient assister leur éclosion, c’est la naissance d’un sentiment ou d’un bourgeon. D’une alchimie, d’une magie, d’un percement il est question pour nos deux mondes de commencement.
Alors se développe une spirale exponentielle ce qui fait sens d’un désir fou, une étincelle pour vers le ciel pointer d’un doigt Angélucien combien amour et feuille font évolution.
Quand lentement, maturité va s’installant elle nous affiche un calme charmant et rassurant pour l’arbre adulte sérénité et robustesse, dans une passion, délectation et allégresse.
Puis le déclin pointe en annonce une évulsion déliquescence des ressentis vers l’apathie Des tons jaunâtres s’affichent alors en bois-chéri tout comme l’union et sa passion perdant en frissons.
La fin arrive par trop souvent lorsqu’établi que toute sève dans notre bois tient de l’oubli. Pour la passion c’est l’alalie de tout espoir puisque rupture et fin de vie trouvent leur butoir.
Dans ces deux mondes ce qui, ma foi, paraît égal c’est que souvent reste possible d’autres passions. Qu’on se nomma Darwin ou bien encore Stendal c’est vers l’avenir qu’il faux figer nos attentions.
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l'eau à la bouche
19/01/2006 15:38
Ecoutes ma voix Ecoutes ma prière, Ecoutes mon coeur qui bat Laisse-toi faire, Je t'en prie ne sois pas farouche Quand me viens l'eau à la bouche...
Je te veux confiante Je te sens captive, Je te veux docile Je te sens craintive, Je t'en prie ne sois pas farouche Quand me viens l'eau à la bouche...
Laisse toi au gré du courant Porter dans le lit du torrent, Et dans le mien, Si tu veux bien
Quittons la rive, Partons à la dérive. Je te prendrai doucement Et sans contrainte De quoi as-tu peur alors N'aie nulle crainte Je t'en prie ne sois pas farouche Quand me viens l'eau à la bouche...
Cette nuit près de moi Tu viendras t'étendre Oui je serai calme, Je saurai t'attendre. Et pour que tu ne t'effarouches Voie, je ne prends que ta bouche...
Commentaire de l.ame.du.guerrier (19/01/2006 19:00) :
tres jolie comme dabitude
continue a faire rever les gents comme tu sais si bien le faire
de ma part je te fait un gros mais un gros bisou
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